FOOD WASTE TOMATO SOUP

Œuvre d’Art Unique « Food Waste Soup » – Série Limitée à 11 exemplaires

Avec Food Waste Soup, l’artiste revisite l’un des symboles les plus emblématiques du pop art : la célèbre boîte de soupe Campbell’s d’Andy Warhol. Cette interprétation contemporaine détourne l’iconographie de la consommation de masse pour questionner ses dérives.

Au centre de la composition, une boîte éventrée laisse échapper son contenu, éclaboussant le sol dans un chaos maîtrisé. Par ce geste, l’œuvre souligne l’absurdité du gaspillage alimentaire et les conséquences environnementales de la surproduction industrielle. Là où Warhol sacralisait l’ordinaire, cette scène met en lumière sa finitude et son effondrement : la boîte n’est plus un objet de désir, mais un rebut abandonné, une icône en déclin, à l’image d’un système consumériste à bout de souffle.

Le contraste entre la mise en scène esthétique et la brutalité du sujet amplifie la portée du message. La lumière dramatique accentue les textures métalliques froissées, la matité du liquide renversé, et la tension entre l’attrait visuel et la réalité crue du gaspillage.

Tirée en série limitée à 11 exemplaires, chaque œuvre est numérotée, signée et accompagnée d’un certificat d’authenticité.

L’impression est réalisée sur le prestigieux papier Hahnemühle Photo Rag Baryta 315g, reconnu pour ses qualités muséales et son rendu exceptionnel. Chaque tirage bénéficie d’une finition artisanale minutieuse : monté sur un support en bois médium avec une colle spéciale Beaux-Arts, puis protégé par trois couches de vernis mat, garantissant profondeur visuelle et durabilité optimale.

Dans une démarche éco-responsable, chaque œuvre est mise en valeur dans un cadre recyclé soigneusement sélectionné, ajoutant une dimension authentique et durable à cette création.

Formats disponibles :

• S : ≈ 30×30 cm
• M : ≈ 50×50 cm
• L : ≈ 80×80 cm

Avec Food Waste Soup, l’artiste nous invite à repenser ce qui est jugé beau, utile ou obsolète, en transformant des rebuts en une œuvre qui interroge autant qu’elle fascine.